S’il y a bien un fil rouge qui anime le parcours du pianiste Benjamin Coum, c’est le rythme ; celui des musiques cubaines et africaines appréhendées
lors de ses recherches, tout comme celui du hip-hop ou de la musique soul. Entre transgression et aventure musicale, exigence et accessibilité,
c’est en trio qu’il s’affranchit allègrement des barrières esthétiques, pour un jazz aux racines palpitantes.