Pop et faussement naïf, le songwriting de ces inventifs Québécois convoque autant le copié-collé instinctif des rêves de l’enfance que la minutie d’une écriture automatique instinctive. Evidemment chantée en français cette pop aux allures d’origami pioche autant dans la luminosité d’un Phoenix électronique que dans la chanson française, pour créer un hybride aux multiples facettes chatoyantes.