La dark wave sentimentale de cette suisso-canadienne est à l’électro ce que le brutalisme est à l’architecture : une cathédrale à la beauté sépulcrale qui impose d’emblée un rapport de force avec son environnement. Barbara Lehnhoff, pour l’état civil, passe le Velvet Underground au hachoir de ses synthétiseurs avant de recoller les morceaux avec de la glue psychédélique. Captivant.