Vous qui pénétrez la forteresse Dead, abandonnez tout espoir, joie de vivre et semblant d’humanité. Industrielle jusqu’au bout des ongles, la musique de ces Rennais croise les lignes les plus déprimantes d’un Cure chuchoté et les plages de guitare noise mixées comme des trombes de pluie acide sur fond de rythmiques martiales que l’on dirait programmées par un robot sadique.