Guitares western à la Ennio Morricone et synthétiseurs vaporeux à la Angelo Badalamenti servent de décor de cinéma aux ballades romantiques de ce duo néerlandais (Danique van Kesteren et Bart van Dalen) au nom d’icône hollywoodienne. Un tandem à la ville comme à la scène qui navigue entre le Mulholland Drive ténébreux de David Lynch et la langueur diaphane de Françoise Hardy, période yéyé.