Pour l’étiquette, vous repasserez. Joulik (« chenapan » en russe) se moque bien de nos classements : dans un trio de voix inspirées où chacun·e s’est enrichi·e de multiples collaborations, on passe de l’oud à l’accordéon autant que des langues latines aux langues imaginaires. Il en résulte de jolies saynètes oniriques où l’on rêve de lointains brésiliens, méditerranéens ou balkaniques, où la géolocalisation ressemble à de la science-fiction.