Les cinq jeunes bretons de Komodor ont les cheveux longs mais pas la mémoire courte. Sans doute élevés aux riffs distordus du MC5, des Stooges, d’Alice Cooper et d’autres rockeurs énervés issus de la « Motor City », le quintet revisite avec brio les codes d’un hard rock millésimé seventies en y ajoutant une dose de psychédélisme. Douarnenez n’a jamais semblé aussi proche de Detroit.