Jean-Michel Baston et Patrick Canette ouvrent leur cœur à travers ce projet dont le nom résonne comme celui une antique émission de TV regardée par les vieilles dames pour se persuader que les femmes d’aujourd’hui sont bien élevées et les vieux messieurs parce qu’ils n’ont pas accès à Pornhub. Au programme : guitares sulfateuses à gravier, voix de teckel se débattant dans une bétonneuse remplie de Ricard et batterie ramasse-gifles. Les solos sont approximatifs, mais honnêtement, qui s’intéresse encore aux solos de guitare de nos jours ? La production quant à elle est parfaite puisqu’elle sonne comme un vieux hit de d-beat suédois compressé à mort. Génie.