Sincère, direct, alliant fougue de la jeunesse et conscience d’un monde où le chaos n’est jamais très loin, Nemo fait danser et pleurer en même temps et surtout nous fait croire en l’avenir et en cette génération prête à exploser qui a grandi entre Daft Punk, Eagles of Death Metal et Stupeflip, qui ne s’interdit rien et surtout pas les glitch de synthé surannés et les drumkits suffisamment kitch pour incarner l’hyperpop.