Élevé dans la spiritualité bouddhiste de ses parents et bercé par la B.O. du Grand Bleu, Aurélien Hamm nous raconte la fragilité mais aussi la beauté de nos histoires d’amour, et la réincarnation de nos blessures dans la répétition de nos journées. Oscillant entre l’anglais et le français, basse chaloupée et nappes éthérées, autotune et nudité de la voix, il cite aussi bien Sade que Mylène Farmer, Better Person, Kanye West ou encore Prince parmi ses influences et incarne le parfait crooner contemporain.