Sous le pseudo « Susobrino » (« son neveu » en espagnol), le belge Bart Van Obbergen Pérez répond à l’appel de ses racines maternelles boliviennes. A la réunion de famille sont invités des instruments et des percussions des peuples des Andes comme le charango (petite guitare à cinq paires de cordes) ou la quena (un instrument à vent en bois), mais aussi des beats électroniques qui viennent chahuter vigoureusement le rythme des retrouvailles. Les compositions randonnent le long de cette ligne de crête, entre tradition et modernité. On appelle ça prendre de la hauteur.