C’est d’abord un voix habitée, hantée par les fantômes des grands noms du folk-blues américains qui frappe dès la première écoute. On pense à Neil Young, Mississippi John Hurt, Skip James ou encore Blaze Foley. Avec pour seule amie une guitare acoustique qu’il fait sonner comme personne, Théo incarne une nouvelle génération de folk singers qui maîtrise son art et n’a rien à envier aux grands anciens qui – certainement – le regardent de là-haut avec bienveillance.